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20ème Chronique
Godwin aux manettes de l'occasion Cazeneuve
Kritix, le Sunday 15 March 2015 -
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Au triste bilan géographique des Huns, prend le tour déjà fameux des inventaires, auditions, douces inquisitions. Et comme le préciserait le pragmatique président député-maire aux titulatures mode et cetera, souverain légitimé par une minorité agissante de poitevins, « les subventions ne sont jamais acquises ». L'opposante de droite poitevine Jacqueline Daigre ne se permettra pas de dire ce qu'il faut faire, laissant les manettes à qui de droit. En voiture, Poitiers-catafalque cale. C'est oublier l'énergie d'un bicorne en embuscade. Juste une droite pour la forme et faire le point.
Alors que Poitiers perd ses habitants…Jacqueline Daigre, l'humour accompli, aujourd'hui décomplexée, libre, semble avoir trouvé son temps. Celui d'un retour politique si âpre en terre d'égos. Hugolienne, sa campagne de 2014 avait été rondement menée avec cette verdeur du désintéressement. Les carriéristes s'étant mis en retrait, le courage en bandoulière, la dynamique du carquois porta au-delà du Futuroscope ; le tintinophile et sancto-bénédictain Dominique Clément s'étant chaussé au dortoir des moines, crût un instant aux indiens... Rasséréné, il s'en retourna après qu'il eût constaté un énième tour de passe-passe entre petits et grands élus sur le retour. Et glissent les masques de notre belle danseuse Lisea… Des jacqueries nous-dit-on ! Par ici, la monnaie. L'échec politique relève pour certains du fervent simulacre, plus que de bonne foi et mauvais pas : une élection ne fait pas le Printemps de bougres en haillons.
Campagne aux municipales de Poitiers avec la candidate Jacqueline Daigre soutenue par le sénateur Jean-Pierre Raffarin en mars 2014
© kritix.com
L'édile UMP Jacqueline Daigre défend ses électeurs avec pugnacité courtoise, dame les surjoués Partenariat-Publics-Privés du professionnel et tonitruant édile Stéphane Braconnier : repasse tout au crible. Au pays du pragmatisme mou d'une baronnie, avec ce ton délicieusement libre, c'est une droite poitevine tout ce qu'il y a de plus épanouie qui délivre le toujours sénateur Jean-Pierre Raffarin de ses démons poitevins. La hache PPP de l'ultra-libéral meeting de Bilderberg plaît aux comptables bruxellois et barons locaux. Grand Poitiers subit ainsi l'idéologie dominante, endure les affres du temps, paye au centuple les transparents alignements serviles et lignages partisans. Univoque, le totalitarisme l'est toujours.
Bernard Cazeneuve, adulateur de feu Jérôme Cahuzac. Bercy qui ?
L’inénarrable Cahuzac quitta Bercy, le cœur serré, lui le génial social-démocrate. Bras dessus, bras dessous, Bernard quittait Jérôme en quelque sanglot monotone, ministère d'un homme d'Intérieur. Cirque portant le casque, l'école Cahuzac sait travailler les commissions, évider le pur formalisme : bel écheveau d'une langue de bois à creuser.
Ivresse du cumul des mandats, fuite en avant d'un débatLe pouvoir possède celui qui l'agrège compulsivement. L'opportuniste s'y cherchera par sa peur d'y perdre une quête de survie. A l'indispensable, nul n'est tenu, vanité exceptée. Combien de légions à sa suite ? Lui-même. Soit la sclérose d'une action rêvée d'un « faiseux » de muséifications. Comment ne pas flatter assurément baronnie si peu sûr ? Recueillis, les « diseux » s'y pencheront autrement. Un pragmatique qui « cravate » dur consensus et unanimisme, fait à l'insu de son plein gré les joies de ceux qu'il prétend combattre. Les grosses commissions sont une panacée pour réduire à portion congrue toute séance publique : la cumulardie le permet et l'encourage pour libérer les têtes toutes bien disposées au prêt-à-penser. Concevoir la gouvernance en terme libertaire revient à mettre l'administré sous le joug totalitaire ; presque tous en joue. Le libéralisme politique est l'utopie déshumanisée. Le libéralisme politique instille la lutte des classes par ses velléités contre les acquis sociaux. Seul un État puissant et stratège garantit les libertés du faible et du puissant. Le libéralisme politique c'est la montée en force du juridisme : toute puissance procédurière de la loi de la jungle objectivement subjective.
Quand Alain C. entendit siffler une fin de parti© kritix.com
« TAP surdimensionné ? » La bien avisée ministre de la Culture Catherine Tascat aurait émis un doute constructif sur le dispendieux théâtre-auditorium de Poitiers, jaune devant, blockhaus surtout ; jusqu'à ne plus douter politiquement, comme on sut le fanfaronner sous le ministère à la rose flétrie du plus c'est gros, plus ça passe. Sous le signe de logos aux tréfonds des revers, forgent les tentations d'un hier aux lendemains chancelants ! La fracture, c'est maintenant ! Pour ce qui est de la gabegie du vélodrome poitevin, c'est l'histoire d'un type qui sans trop savoir… Ainsi vont les décisions, choix d'un pouvoir à l'aune de lui-même. Bienvenue en cumulardie ! Ces préséances clientélistes plaisent au strauss-khanien et premier secrétaire du blanc-seing, Jean-Christophe Cambadélis dans la vallée d'une faute presque morale que celle de fourbir ses armes à Poitiers ; bonne ville prétendument apaisée où le débat déjoué claquemure les tenants de la pensée unique. La malédiction LGV s'occupera du peu qu'il reste, à feu doux. Les opacités claeysiennes de 2014 prirent leurs premières couleurs marines que la propagande présenta apaisées. Tout un symbole que l'ombrageuse stratégie agiterait ces vieilles lunes électoralistes éculées par le poids des abandons ; si emblématique qu'il soit à coup sûr du plus bel effet « lumières mouvantes de juin 2015 ». L'opposition de gauche prépare les poitevins et veille sur l'intégrité poitevine. A défaut d'apaisement, Poitiers aura sa bataille.
Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2014-...) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2014-...) [externe] Trombinoscope de la municipalité de Poitiers (2008-2014) [pdf] Trombinoscope de la Communauté d'Agglomération de Poitiers (2008-2014) [pdf] |
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